En 2008, M. Leclerc nous promettait :
- Une ville où il ferait bon vivre avec une circulation fluidifiée, des parkings accessibles, les commerces et les services de proximité encouragés, des marchés et un centre-ville revitalisés …
- Une ville attentive et proche des gens, notamment des aînés, auxquels elle apporterait écoute, sécurité, services de proximité, de santé et de loisirs adaptés …
- Une ville soucieuse de l’environnement garante de la préservation des conditions de vie des générations futures …
- Une ville défendant un pôle santé à la hauteur de ses ambitions …
Et bla bla bla …
En 2014, M. Leclerc voulait travailler dans la durée pour conforter la qualité d’un cadre de vie durable :
- En impulsant des pratiques durables, en les valorisant et en les partageant …
- En favorisant les espaces verts, les transports collectifs et les déplacements doux …
- En développant l’attractivité et le dynamisme économique …
- En renforçant l’attractivité du centre-ville et son offre commerciale …
Il voulait bâtir une ville accueillante, solidaire et ouverte sur le monde :
- En apportant soutien aux personnes âgées, handicapées et en situation de précarité …
- En encourageant le lien social, la solidarité, la vie des quartiers et la proximité …
Et rebla bla bla …
En 2020, le voilà qui nous promet un Landerneau dynamique et durable en se lançant enfin dans la co-construction sur des thèmes des mobilités, de la vie dans les quartiers, des projets urbains …
Peut-on encore sérieusement y croire ???
Karine pour le collectif « Landerneau pour tous»
Karine evil ar skipaihl « Landerne d’an holl »